Leonidas Seminoglou est retrouvé mort, un couteau dans la poitrine, à la suite d'une partie de cartes à laquelle il avait convié trois de ses amis. Il s'avère vite que Leonidas avait prévu, ce soir-là, d'assassiner ses invités. Le journaliste Makris et le commissaire Bekas mènent l'enquête.
Trois nouvelles policières parodiques mettant en scène un privé qui, faute de mieux, enquête sur la disparition d'une chatte siamoise ; l'exécution en 1944 du jeune Paul, condamné pour protéger le vrai coupable ; ainsi qu'un privé aux prises avec une femme fatale.
Odysseas Elytis (prix Nobel 1979) consacre à l’artiste Yannis Tsarouchis une ode à son œuvre, qui questionne sa pratique de la peinture et son rapport à l’identité grecque. Seize œuvres du peintre ont été choisies en contrepoint du texte, pour s’associer étroitement avec ce qu’exprime Elytis.
Recueil de huit textes évoquant les expériences gustatives de l'auteur. Chaque histoire est autonome et sert de miroir à l'écrivain.
Recueil de cinq nouvelles du romancier indien, qui reflètent son humour distancié, sa quête spirituelle et son angoisse existentielle mâtinée d'autodérision. Revendiquant son appartenance aux cultures hindoue et musulmane, il manifeste à travers ces textes son refus de toute identité exclusive.
D'un côté un businessman, sa femme se complaisant dans le luxe et leur fille, une adolescente chargée par l'un de ses professeurs d'écrire un essai sur la faim. De l'autre, un vieillard, une vieille femme et une jeune fille dont on ne sait s'ils souffrent réellement de la faim ou si ce sont des comédiens. La pièce relate avec une ironie féroce la rencontre de ces deux mondes.
Douze nouvelles qui mettent en scène la communauté musulmane de l'Inde et ses relations aux autres communautés. Les enregistrements de six des nouvelles sont disponibles en téléchargement gratuit sur le site de l'éditeur.
Les deux pièces de K.B. Vaid ici présentées renvoient au spectateur, dans un langage très vif, quotidien voire populaire, les problèmes contemporains du sous-continent indien, et à travers eux les nôtres en cette période critique où le devenir de la Terre est en question.
Quinze textes, articles, interviews, lettres, qui témoignent de la rigueur intellectuelle, de la volonté inlassable et de l'humour très personnel de Béla Bartok. Le premier, consacré à la musique de Liszt, fut écrit en 1911 ; le dernier, une lettre à son fils Béla, date de 1941.
Recueil de cinq nouvelles. Publié en 1941, il aborde des thèmes qui s'articulent autour de la difficile coexistence entre profession et vie privée.